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DE BOEMERANGEFFECT

CHAPITRE 10


L'état d'esprits


État d'âme  ou  État d'esprits

C'est bien pour cela qu'il est FONDAMENTAL d'avancer dans la sanctification selon Dieu, par la repentance de nos péchés à la Croix, mais à la vitesse de Dieu, car lui connaît TOUTE partie de nous et ne met JAMAIS la charrue avant les bœufs, si nous nous laissons guider par son Saint-Esprit.

L'important est donc bien de rechercher la communion avec l'Esprit de Dieu, en tous temps, en tous lieux, en toutes circonstances, plutôt qu'en agissant par nous-mêmes en nous privant de la vie, afin de pouvoir nous vanter d’être bien, puisque ne rencontrant soi-disant plus le péché.

Il est une autre attitude que certains adoptent et qui n'est pas meilleure, voir peut-être pire à mon sens. Ces gens recherchent humainement encore une fois, ce qui aurait pu dominer sur leur âme et pourrait dominer encore, par une introspection permanente comme par crainte d'avoir un jour à reconnaître leurs actes empreints de péchés. Je ne sais pas par quels mauvais motifs ces gens sont alors conduits, car ceux-ci peuvent être infiniment variables et bons à leurs yeux car Satan sait amener beaucoup de leurres. Notre but n'étant pas de le découvrir pour les juger, disons par exemple de rendre un meilleur témoignage de Dieu que d'autres. Il ne s’agirait certes là que d’une forme de rivalité, dont le but leur semblerait être de glorifier Dieu par des attitudes humaines meilleures que celles qu’ils ont reçues, mais passons. Très certainement ces personnes combattent-elles sincèrement ce qu'elles ne connaissent pas, par crainte de le rencontrer, par crainte d'être pris en flagrant délit, par crainte des hommes qui les condamneraient alors, pourquoi pas, par la peur même de Dieu, le confondant alors avec un père fouettard.

Dieu nous connaît TEL QUE NOUS SOMMES, nous devons lui faire confiance. Si nous essayons de vaincre des esprits impurs avec un mauvais motif dans le cœur, ce n'est pas lui qui agira, mais bien toujours notre propre chair, notre ancienne construction, notre ancien guide. Aussi, que nous arrivera-t-il alors ?

Si nous combattons humainement, et prenons autorité sur toute sorte de « noms », sans en attendre la révélation de Dieu, nous combattrons des moulins à vent comme des don Quichotte que nous serons devenus. Nous n'aurons alors pas à nous étonner de vivre de plus en plus de difficultés, à voir les autres de plus en plus mauvais, car l’ennemi agira alors selon les boîtes d’allumettes cachées derrière le Frigo. Jésus ne pourra cependant pas nous défendre, car nous n'aurons pas accepté de combattre selon les règles, tentant de cette manière d'éviter la Croix, et la repentance de nos propres fautes. Il faut savoir que Satan à son plus haut niveau de déguisement pour simuler la dimension de l’Esprit de Dieu, est appelé également l’ange de lumière, et nous y reviendrons. Ne le tentons donc pas à nous faire devenir encore plus à cette image de lui-même, nous risquerions de le regretter un jour.

Dieu veut nous révéler toute chose, non pas en notre temps afin que nous soyons pris pour des surhommes, mais en son temps. Comme nous le regardions déjà au chapitre huit, il veut « déconstruire » pierre par pierre l'ancienne bâtisse pour la reconstruire sous forme d’édifice selon lui. En cela, il fera progressivement la lumière  sur nos mauvaises actions, dans l’ordre choisi par lui, et selon notre acceptation à le laisser faire. Lui seul connaît l’ordre dans lequel ces « pierres » s'enchevêtrent dans notre subconscient, lui seul saura nous conduire dans ses voies.

Les seules bonnes attitudes que nous puissions avoir, sont d'une part, de rechercher l'harmonie et la communion permanente avec le Saint-Esprit dans la présence de Dieu, sans oublier la prière et parfois le jeûne. (Assurons-nous toutefois dans ce cas, qu'il est bien conduit de Dieu). D'autre part, d’accepter du Seigneur en toute humilité, la remise en cause de nos mauvais agissements sans nous mortifier, nous rappelant toujours que Dieu est le Dieu des vivants et non des morts, et que si nous n'avons pas, ni le désir, ni la force d'agir, lui seul peut nous la donner.

Comme chacun a pu le remarquer sur le petit schéma de l’état d’esprits, j'ai fais deux types de relations entre différents esprits impurs, et ceux de Dieu par l'Esprit-Saint. Ceux reliés par ////////////// sont des opposés, même s'ils ne sont bien sûr pas limitatifs. Ils représentent ce que nous reconnaissons généralement comme venant de Dieu, mais que nous craignons de perdre, de peur de tomber dans l'excès inverse, et de nous faire duper. Nous croyons par exemple être passés au travers de grosse difficulté grâce au mensonge, nous aurons d'autant plus de crainte d'avancer dans la vérité.

Ceux qui sont reliés par des « égal » ======== sont encore des exemples non limitatifs, de ceux que souvent nous ne voudrons pas perdre, les assimilant l'un à l'autre, et croyant sincèrement déjà les posséder en Dieu. La crainte par exemple, nous aura souvent été utile, surtout pour vaincre la témérité ou la rébellion, pour vaincre elles-mêmes la timidité. Par timidité, nous n'oserons pas agir et quand nous agirons, nous le ferons par témérité ou rébellion. La crainte limitera alors nos excès et nous la confondrons avec la sagesse de Dieu.

Toujours dans ce même exemple plaçons-nous dans le cas d'une personne au volant, réagissant plus ou moins par ce type de construction. Timide elle n'oserait pas conduire, mais par témérité elle le fera. Par rébellion sans doute ne fera-t-elle pas de complaisances pour les priorités, et elle doublera par témérité, mais par crainte des gendarmes et de l'accident, elle considérera agir généralement avec sagesse, alors que ce sera justement cette fausse sagesse qui lui nouera l'estomac. Cette crainte, cette fausse sagesse, ne venant pas de Dieu, la limitera non seulement au volant, mais dans tout le reste de sa vie, et particulièrement où elle ne le voudrait pas. Peut-être la maîtrisera-t-elle mieux par ailleurs, mais peut-être également, cette crainte viendra-t-elle justement d'ailleurs ; c'est bien là la difficulté d'agir humainement.

Au moment de notre conversion, le Seigneur nous laissera certainement ainsi un temps, afin que nous nous affermissions dans sa parole, mais un jour viendra ou il voudra nous libérer de cette crainte. Si nous n’acceptons pas que nous sommes guidés par la crainte, considérant qu'il s'agit là de la sagesse, Dieu ne pourra pas agir, car jamais il ira contre notre volonté. Par contre nous le supplierons éventuellement de retirer de notre vie des stress qui nous entraînerons parfois jusqu'à la maladie, voir même la mort si elles sont la source d'un infarctus.

L'ennemi de nos âmes sait s'y prendre pour nous faire refuser les vraies bénédictions de Dieu, et tout comme il peut tenter de nous faire croire que nous sommes déjà pourvus dans notre exemple de sagesse, il peut agir à l'opposé, nous la faisant refuser.

Il poursuivra incontestablement le même but de nous faire désobéir à Dieu, mais nous la fera redouter comme il en était pour moi, la confondant alors à une sorte de mortification, une sorte d'hypocrisie. C'était là ma confusion, entre la sagesse et le comportement de ces vieilles dames qui allaient dans une grande bigoterie à la messe le dimanche.

J'avais près de deux années de conversion, et nous étions depuis de nombreux jours dans une très très difficile épreuve de foi, lorsqu’un beau jour je n'y teins plus. Contrit et dans les larmes, je criais alors à Dieu dans une profonde souffrance : « Seigneur, donne-moi la foi, donne-moi la foi »! Vingt-quatre heures après avoir demandé la foi à Dieu, je ne l'avais toujours pas reçu, et dans mon cœur c'était plutôt le désespoir que la joie de vivre.

Dans ces conditions, nous eûmes à faire un petit déplacement d'une centaine de kilomètres. Je ne conduisais déjà plus comme par le passé à des vitesses invraisemblables, mais toujours bien au dessus de la limitation toutefois. A mon habitude, tout en roulant et bien que Marie-Claude était à mes côtés, je priais Dieu de me montrer comment agir, de me bénir, de combler ma souffrance. A un moment, j'en vins même à adresser des semi-reproches au Seigneur. Ce n'était certes je crois, que la conclusion de toutes mes recherches à faire sa volonté, mais aussi la constatation de mon impuissance à pouvoir accomplir cette dite volonté. M’adressant alors à Dieu, je lui dis « Écoute Seigneur, moi je veux bien, mais quand on te demande quelque chose dans ta volonté, tu le donnes. Alors moi je crois, que rien ne peut être plus dans ta volonté, que de donner la foi à celui qui te la demande pour accomplir ta volonté ??? Il faut absolument que tu me dises pourquoi Seigneur, tu ne me la donnes pas ! »

A ce moment, je perçus très clairement dans mon esprit : « prends-la ! »

Ce fut alors comme si je m'en emparai, comme si je m'en saisis instantanément d'une main ferme. Je m'en trouvai soudain envahi d'une telle dose, que je poussai alors un grand « Ouf de soulagement ».

Contrairement à ce qu'auraient été mes comportements passés, je n’accélérai cependant pas trop il me semble. Quatre à cinq kilomètres plus loin, alors que nous roulions en ligne droite sur une portion plate, je rattrapai néanmoins deux autres véhicules, roulant à une vitesse très nettement inférieure à la mienne. Je connaissais bien cette route, et je savais que nous abordions une portion trop longue à mon gré, pendant laquelle je ne pourrai pas doubler.

Je vous ai déjà dit que je conduisais sur la route comme en compétition. Il est bien évident qu'en course, toute faute d’appréciation est généralement fatale, mais aussi toute gêne apportée à un autre pilote peut être une cause de mise hors course.

Le Seigneur connaissait évidemment très bien tous mes excès de vitesse, mais aussi tous mes scrupules au moindre détail de pilotage sur la route. Je m'approchai donc de ces deux véhicules, dosai mes réserves de vitesse, et me rendis bien compte qu'il me manquerait certainement quelques mètres, pour effectuer le dépassement des deux à la fois sans franchir du tout la ligne blanche. Je ne risquais toutefois rien quant-au premier véhicule, je commençai donc de dépasser celui-ci. Là, alors que je n'avais bien évidemment plus aucune réserve de puissance, je me laissai aller à me poser de nouveau la question si je continuais ma manœuvre ou si j'intégrais une position intermédiaire entre les deux.

Plus les mètres avançaient, plus je me rendais parfaitement compte qu'il n'y avait effectivement rien de changé, par rapport à mon appréciation de départ, mais il me vint alors une réponse à ma questions : « Ah ! Et puis après tout, j'ai la foi.»

Je continuai donc mon dépassement, mais comme de bien entendu, je mordis la ligne blanche ! Ce ne fut certes que d'un ou deux mètres, mais ce fut pour moi bien plus que suffisant pour m'interpeller fortement.

C’est alors que je perçus aussi clairement que la première parole que Dieu m’avait donnée : « Demande moi la sagesse et je te donnerai la foi.»

Le Seigneur me fit également comprendre, que ma foi, n'était en réalité que témérité. Je confondais donc témérité et foi. Je peux vous assurer, qu'étant donné les difficultés matérielles que nous vivions, je m'empressai de dire «Seigneur, Seigneur, donne moi la sagesse.»

Je ferai encore une petite remarque à ce sujet, car le dimanche d'avant, nous avions eu un message tout ce qu'il y a de plus explicite de la part de notre pasteur, sur la nécessité de demander la sagesse au Seigneur. J'avais alors refusé catégoriquement l'intérêt d'un tel message, et cela n'avait fait qu'accroître un désaccord qui existait déjà entre Marie-Claude et moi.

A la seconde fois, non seulement j'en fis la demande à Dieu, mais je m'empressai d'en rechercher la mise en pratique, du moins je l’espère.

Pour revenir donc à ma confusion d'accepter ou non la sagesse, afin de me tenir un peu plus en « laisse », l'ennemi m'avait berné depuis mon enfance à me faire confondre l'attitude de ces vieilles dames et la sagesse, me la faisant ainsi refuser de ma propre initiative, et interdisant donc à Dieu de me la donner.

Chacun est soumis à ce genre de fraude de l'ennemi. C'est pour cette raison qu'entre deux hommes, et qui plus est même souvent entre chrétiens, nous ne nous comprenons pas. Sachons donc mener le bon combat ! Dieu veut nous ouvrir les yeux sur tous ces divers petits pièges de l’ennemi dans lesquels nous sommes tous tombés, et qui encombrent notre vie. Que nous soyons balayeurs, manœuvre ou haut dignitaire de l’Etat, personne n’y a jamais échappé, sauf Jésus, qui se trouve donc être le chemin la vérité et la vie vers Dieu notre Père. Il n’y en a pas d’autres !

La liberté est au bout du chemin et le chemin s'appelle : SANCTIFICATION !

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